H26 – L’autoritarisme est une dérive sadique

Je propose dans les prochains articles de passer les régimes politiques à l’aune des pathologies de l’Institué. C’est un peu risqué mais il me semble que le modèle impose des pistes de réflexion pas dénuées d’intérêt.

Les dérives des systèmes politiques (1ère partie) – H26

Rappelons tout d’abord que nous entendons par #Personne, non pas l’individu ou même l’agent social, mais la capacité à générer de l’appartenance et de la compétence, de l’identité et du droit, en deux mots de faire société. Le gouvernement en tant que pratique #hégétique se situe donc sur le versant #Institué de la Personne puisqu’il s’agit, non pas d’appartenance et de partition comme sur l’ #Instituant, mais de participation et d’action sociale, de délégation et de pouvoir. 

Mon hypothèse est donc la suivante: chacune des pathologies sociales que nous avons étudiées correspond à une dérive politique spécifique.


La Reine de coeur d’Alice au pays des merveilles fait couper toutes les têtes qui dépassent. Elle ne semble pas en tirer un quelconque plaisir mais ne supporte aucune contradiction. Toute résistance à son pouvoir est une résistance coupable.

Le sadisme ne se résume pas au plaisir qu’on éprouve en faisant du mal à autrui. Ce n’est selon la théorie de la médiation une question ni de jouissance ni de volonté délibérée de nuire. Le sadisme est l’incapacité d’accepter chez l’autre toute responsabilité, autonomie, dignité ou souveraineté, quatre mots pour désigner un seul concept de reconnaissance sociale : le sadique nie par conséquent la compétence sociale d’autrui. Cela se traduit par une cruauté rageuse (selon l’expression d’Hubert Guyard) et incontrôlable qui vise à réduire sa victime au statut de simple objet (ou d’exécutant qui n’est qu’un objet animé en service commandé), éventuellement sexuel mais pas obligatoirement, dont le pervers dispose à volonté. Le sadique souffre d’une rupture de curseur et d’un dérèglement du variateur qui permet au sujet sain de négocier dans une relation d’autorité consentie, la délégation de pouvoir. 

Le sadique quant à lui humilie, écrase sa victime, faute de pouvoir établir avec elle un rapport équilibré et mutuel de confiance. Il ne connait que le rapport de force et la résistance, voire l’inversion du rapport de force, sont en retour, les seules armes qu’on a contre lui.

On reconnait là, à une autre échelle, l’autoritarisme où un pouvoir autoproclamé ou abusif dirige un état sans prendre en compte la volonté populaire et impose ses décisions par son bras armé (police, milice, force militaire) et son administration (surveillance, répression, tourments bureaucratiques, impôts insoutenables). La dictature ne tolère aucune opposition et s’arroge le droit d’anéantir les opposants au régime despotique, parfois de manière définitive et arbitraire. La souveraineté (liberté d’action) des administrés est réduite à néant par tous les moyens à disposition, la fin les justifiant.

Dans les griffes du maniaque, la négociation est impossible. Avec le patronat, la marge de manoeuvre est étroite mais la victime a une petite chance.

On ne discute pas avec un sadique : d’ailleurs, il ne vous en laisse rarement l’occasion car il triche, ment, prend par surprise, s’impose par traitrise et vous réduit à l’état d’impuissance par la force et la violence. Sa domination se veut totale et son pouvoir absolu. S’il prend le dessus, il vous écrabouille. Si vous résistez, cela décuple sa rage. Il ne supporte pas la résistance. Plus exactement, il ne la conçoit pas. Il écrase non par vice mais par perversité, une perversion spontanée, incoercible, qui le submerge. Son pouvoir l’enivre et la violence qu’il ne contrôle plus fait de lui une brute qui perd tout sens de la dignité dont il n’a plus le principe. Je conçois ici la dignité comme un équilibre congru entre devoir et droit, dette à rembourser et tribut à percevoir, un maillage d’obligations équitables sur lequel repose une dépendance acceptée et mutuelle. La confiance que le sadique ne trouve plus chez lui, il cherche compulsivement à la détruire chez l’autre. 

Kim-Jong-Un a bien compris que l’omniprésence de l’image du chef est essentielle au culte de la personnalité.

De la même manière, l’autoritarisme ne laisse qu’une marge infime à ses sujets. Le tyran leur réclame obéissance et souvent dévotion par le biais d’une idéologie qui idolâtre la personne du chef. La perversion du tyran va jusqu’à faire adhérer le peuple à son pouvoir pour ne pas avoir à user de la force pour asseoir sa domination. Il éradique ainsi l’idée même d’une résistance à l’ordre imposé. 

Nous avons vu précédemment qu’on peut envisager le pervers narcissique comme un sadique. Or le pervers narcissique n’a pas non plus systématiquement recours à la force physique: la pression psychologique et la manipulation sont ses armes redoutables. L’autoritarisme y a donc également recours sous la forme de torture psychologique que le psychologue social Albert Biderman a décliné dans les années 1950. Pour l’armée Américaine et la CIA, il a écrit un article détaillant les techniques utilisées par les soldats chinois lors de la guerre de Corée. Ce tableau restitue son classement. 

On peut constater que les critères s’appliquent aussi bien au pervers narcissique manipulateur qu’à la tyrannie débilitante et terroriste. Toute ressemblance avec la situation actuelle en France serait fortuite mais extrêmement tentante.

Comme le sadique, le régime autoritaire en devenir masque d’abord ses intentions. Il s’installe par la voie légale et démocratique avant de durcir le régime pour finalement prendre les pleins pouvoirs et justifier les mesures d’exception par l’état d’urgence et la nécessité. 

Un tel régime qui ne recueille pas toujours d’emblée l’approbation générale peut néanmoins compter sur la progressivité de l’abus de pouvoir et l’accoutumance de la population à l’arbitraire, à moins qu’il ne choisisse la stratégie du choc et l’abasourdissement. Viennent ensuite la passivité complice de la majeure partie de la population qui répondra plus tard à la terreur par la crainte pour ses intérêts, la prudence et l’attentisme au meilleur des cas, par la résignation, la collaboration et la dénonciation au pire de l’implication dans le système. 

Pour bien comprendre que nous ne sommes pas nécessairement rétifs au pouvoir et que nous pouvons au contraire consentir à l’obligation justifiée, je vous renvoie à la très fameuse expérience de Milgram bien décortiquée par le Précepteur

Franco en visite dans un dispensaire de Castille lors de la campagne de
vaccination contre la grippe espagnole.

Il y a par conséquent un cadre rassurant dans la dictature pour une part non négligeable de la population qui préfère l’excès d’ordre à l’anarchie et l’abus d’autorité est d’autant mieux accepté que l’exécutant n’est pas en bas de l’échelle mais qu’il a sa place dans la hiérarchie avec une possibilité d’ascension. Inégalité ne signifie donc pas iniquité. Les positions sont conçues comme des promotions et du supérieur viendra la reconnaissance et la récompense. Rien de pathologique ni de masochiste là-dedans mais le fonctionnement normal d’une méritocratie. L’armée marche de ce pas, et en définitive, toute l’administration et l’État fonctionnent ainsi. C’est parce que les principes même de l’organisation et de la hiérarchie sont inscrits dans l’instance ethnique et dans son réaménagement politique. N’en déplaise à nos amis libertaires, l’agent social ne fonctionne pas uniquement sur le mode associatif : diriger et obéir font aussi partie d’un comportement social normal qui relève de la délégation de souveraineté. Le pouvoir est par conséquent intrinsèque à l’humain. C’est l’abus de pouvoir qui fait problème, c’est à dire la confiscation de la délégation et l’oubli par l’élu de sa représentativité. C’est un des reproches que les citoyens les plus engagés font au parlementarisme. Ils refusent de ne se prononcer que tous les cinq ou six ans sur le choix d’un individu, plutôt que sur l’assignation à une mission précise de manière plus ponctuelle pour justement éviter cette dérive sadique du détenteur de pouvoir. 

Emmanuel Todd dans son imitation de Bernard Pivot.

Le démographe Emmanuel Todd a émis l’hypothèse qu’il existerait un sadisme de classe. Toute catégorie sociale déclassée ou en voie de déclassement aurait ainsi tendance à se venger non de la source de son malheur mais contre la classe inférieure jusqu’à un ennemi fantasmé (puisqu’il n’y a plus personne au-dessous) pour les couches les plus populaires, immigrées notamment, en la personne du juif, de l’Illuminati ou du reptilien. 

L’organisation sous-entend une complémentarité, c’est à dire le maintien d’une identité sur une pluralité d’unités. En termes plus concrets et sociologiques, une même #charge (une fonction ou un projet si on préfère) est supportée par plusieurs parties (peut-être de simples individus, peut-être des ministères comprenants de nombreux agents). 

La défense de la Sécurité Sociale a parfois emprunté
des sentiers controversés.

Nous y reviendrons plus loin car ce qui nous intéresse pour l’instant, c’est la capacité de persistance d’une unité dans la différence: au sein d’un seul ministère (pris dans son sens très large de part sociale), tout le monde n’a pas un rôle de même importance, les responsabilités sont inégalement réparties, à commencer par la famille. Comme le champ lexical, le champ social des compétences s’aménage de manière pyramidale, du plus responsable (le décisionnaire) vers le moins autonome (l’exécutant), chacun exerçant sa portion de devoir, dans un cadre d’indépendance défini par l’échelon supérieur. L’autoritarisme réside dans le non-respect du rang du subordonné et l’ingérence dans son espace d’autonomie. A chaque rang dans l’organisme social, dans le cas d’un fonctionnement sain, correspond une certaine qualité de compétences, des emplois dignes de la place de l’agent dans la hiérarchie. Si l’impulsion vient du haut, dans toute la pyramide, une certaine part de décision et une marge de manoeuvre sont laissées à chaque échelon. Le taylorisme et son ersatz japonais le toyotisme sont justement la négation de la diversité dans la production. Une bureaucratie tatillonne ou un protocole inutilement rigide relève du même excès qualitatif standardisé. 

Mussolini et Hitler, tête bêche.

Au contraire d’une démarche auto-responsabilisante et souple, la dictature instaure une circulation de la demande verticale et à sens unique, de haut en bas : l’échange prend toujours la forme d’un ordre et de son exécution. La délégation y est descendante par principe, ce qui remonte n’étant finalement que le rapport d’exécution, le compte-rendu qui tient plus de la surveillance bureaucratique que du négoce équitable. Alors qu’en démocratie, la délégation politique est d’abord ascendante (élection) avant de redescendre (législation et directives). 

A l’élection, le despotisme substitue la nomination, c’est à dire la sélection par un supérieur. Autant dire que l’entreprise capitaliste n’est pas un haut-lieu de la démocratie : elle ne s’y épanouit que très partiellement. Les seuls élus sont les délégués du personnel. La part la plus capitale (du latin caput, capitis : tête) revient au porteur de capital, l’actionnaire sans qui rien ne se fait et qui pourtant ne fait rien.

La nomination est toujours arbitraire puisqu’elle émane d’un agent recruteur mais elle peut être motivée par le mérite du candidat au poste. Un cahier des charges et des compétences requises suivi à la lettre est le gage d’un recrutement plus transparent mais cela reste une décision oligarchique, voire unipersonnelle. Dans ce cas pourtant, ce n’est pas l’individu lui-même qui est nommé mais sa Personne, sa compétence, sa capacité à assumer la charge et à occuper le poste. A l’inverse, le despote nomme celui qui lui sera soumis et fera exécuter ses ordres. La véritable compétence peut même être pressentie comme un danger par la concurrence qu’elle induit. Dans le cas du népotisme, le recruteur favorise quelqu’un de son entourage qu’il a déjà sous sa coupe (sa famille ou ses proches) pour obtenir le poste : la compétence est de ce fait secondaire alors que priment les liens du sang et les liens affectifs, des relations extra-sociales (comme on dirait extra-professionnelles) qui ne devraient pourtant pas intervenir dans le bon fonctionnement d’une institution, quelle qu’en soit la nature. On mesure tout ce qu’il y a d’archaïque (faussement naturel) et de patriarcal dans l’héritage dynastique du pouvoir ou de l’entreprise familiale, plomberie ou mafia. 

Et si Eichmann avait pris tous son monde
pour un con, histoire
d’échapper à la peine capitale?

Or pas plus que le parrain, le sadique ne supporte cette rivalité dans la relation. Il est vide de toute cette dialectique qui lui permettraient d’accepter autrui, de négocier et d’arriver à un compromis démocratique avec un réel consentement. Le dictateur préfèrera s’entourer d’incompétents à sa botte, qu’il se sera aliénés en les hissant à leur poste. Leur allégeance fera office de reconnaissance. L’obligation sociale du subordonné n’est alors que de satisfaire aux ordres de son supérieur. C’est ainsi que le pire peut être accompli par déresponsabilisation de l’exécutant vis à vis du « forfait » légal à commettre et par distanciation (un intermédiaire ou plus) entre le donneur d’ordres et la victime de l’oppression. L’exécutant ne fait qu’obéir aux ordres et juger de leur bien-fondé ne lui incombe pas. Mieux, il peut se persuader qu’en agissant efficacement, il agit bien puisqu’il sert celui à qui il est redevable de sa charge. Dans un tel système, le devoir est d’obéir aux ordre. Lors de son procès, le nazi Adolf Eichmann a adopté cette défense et il se pourrait qu’Hannah Arendt ait construit sa thèse de la « banalité du mal » sur une ruse de l’accusé, reconverti en bourreaucrate besogneux après avoir été un génocidaire zélé. Cela dit, comme le sadique, l’exécuteur des hautes oeuvres peut partitionner sa vie et n’exercer son pouvoir que dans un cadre précis tout en menant une existence relativement normale en dehors de la relation toxique bourreau-victime. Cela permet au tyran de jouer aux échecs sans exécuter son vainqueur. Les règles du jeu tiennent lieu de constitution le temps de la partie mais le joueur n’est pas à l’abri d’un abus de pouvoir de son adversaire si le pervers décide d’imposer son propre cadre légal.

Tout ce que vous direz sera retenu contre vous.

Le sadique ignore qu’il peut se tromper, que l’autre peut avoir raison et qu’en tout cas, la victime a le droit de s’exprimer et d’exister en égal. Il ne connait que le rapport de force et ne réagit qu’à la pression. On ne raisonne pas un sadique en crise. On le neutralise physiquement pour l’empêcher de nuire. Ensuite seulement, on envisage une thérapie.

Seule la force du nombre et la pression de la rue peuvent donc s’élever contre le régime autoritaire, où, s’il fonctionne comme tel, les différents niveaux ne feront que répondre aux ordres de l’échelon supérieur. Quand Frédéric Lordon parle de « sortir du cadre », c’est du carcan républicain de la Vème auquel il fait référence. Cette constitution minore le rôle du peuple et manipule son vote en faveur d’une grande personne capable de limiter son pouvoir à un patriarcat vieille France teinté de royauté nationaliste (le Gaullisme). Les détenteurs actuels des rênes hégétiques n’ont pas cette bienveillance paternaliste du grand Charles. Il prenait les Français pour des veaux mais savait également qu’il n’était rien sans eux, qu’il avait besoin d’être un tant soit peu admiré et qu’au fond il les aimait bien : il a démissionné suite à la désapprobation populaire. Il y avait de l’amour propre, un sens de l’honneur, mais aussi le réalisme d’un homme d’État qui sait qu’on ne gouverne pas contre son peuple à long terme sans un recours abusif à la force.

Pourquoi chercher au cinéma ce qu’on a aux infos?

Or Emmanuel Macron qui gère aujourd’hui le pays dans le même cadre présidentiel qu’il a d’ailleurs encore renforcé sait qu’il doit prendre des décisions contre l’avis général. Il les prendra parce qu’il a été nommé avec cette mission par la grande bourgeoisie mondialiste. Il les prendra parce que l’idéologie libérale l’y pousse : le programme de dérégulation économique qui lui tient lieu de feuille de route et d’ordre de mission est plus fort, dans son esprit, que la résistance des Gaulois réfractaires et des Jojo le Gilet jaune qu’il méprise. Macron est l’enfant de sa classe sociale et même pas le premier de sa classe. C’est aussi pour ça qu’il a été choisi. La classe dirigeante actuelle refuse de prendre la volonté populaire en considération et elle sur-arme sa police pour maintenir un ordre qui ne tient que par la force publique et le désarroi craintif de nombreux Français : je dépeins là une relation toxique de sadisme avérée. Une assistante sociale ferait intervenir l’État pour mettre la victime à l’abri et la soustraire à l’emprise du pervers. Qui pouvons-nous faire intervenir? Les protestations de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, d’Amnesty international ou même de l’ONU ne suffiront pas. Emmanuel Macron ira jusqu’au bout de son mandat si une guerre civile n’éclate pas et l’oligarchie mettra tout en oeuvre pour mettre légalement à sa place un autre pion pour finir le job. Le piège de la représentation dans un régime de sadisme systémique, c’est l’illusion du fusible. Macron n’est pas le problème : il n’est qu’un exécutant zélé d’un programme beaucoup plus large que ses épaules. Son délire paraphrénique ne l’empêche pas d’avoir conscience que ce n’est pas vraiment lui qui dirige le pays. Il n’est qu’à l’initiative d’un tas de broutilles sans lendemain qu’il s’empresse de renier (le Grand Débat, le Conseil citoyen sur le climat, le référendum). Le sadisme qui opère est beaucoup plus systémique (j’insiste sur la formule) : l’oligarchie réellement aux manettes économiques, financières et médiatiques et la technocratie dirigeante qui lui subordonne l’appareil d’État (ce qu’Emmanuel Todd appelle la classe stato-financière) constitue la partie oppressive de cette dynamique perverse.

Les théories du complot diabolisent le phénomène avec des teintes satanistes et pédophiles. Elles personnalisent à outrance les coupables qui ne sont que des têtes de proue d’un processus plus vaste. Le complotisme prend volontiers des allures d’une erreur folklorique mais les complotistes ont repéré le dysfonctionnement général du système. Ce n’est pas à l’échelon national que les choses se passent mais à un niveau planétaire. Comme l’avait annoncé l’économiste Karl Polanyi, l’aveuglement du capitalisme mène à la destruction du travail (ressources humaines), des échanges sociaux non-monétaires et de la planète (matières premières), au profit d’une mécanisation à outrance et d’un productivisme forcené qui fabrique un monde de produits où les humains sont réduits au rôle de consommateurs (et de moins en moins producteurs) soumis au pouvoir technocratique de ceux qui décident de l’orientation des machines et des produits. La propagande libérale, les médias et la publicité manipulent les foules avec des procédés dignes des pervers narcissiques. Et quand celles-ci se rebiffent et manifestent leurs revendications hors de ce cadre, la violence est devenue une réponse systématique. L’intransigeance du pouvoir en place en France est à comprendre sous l’angle pathologique que nous avons développé ici. Ce qui ne présage d’aucune solution pacifique.

Tout le reste est littérature. A la revoyure.

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