N25 – Contes de la névrose ordinaire

Voici quelques portraits de névrosés obsessionnels. On s’apercevra qu’ils ne sont pas particulièrement touchés mais que le trouble qui, malgré tout, les affecte peut parfois entraver leur existence de manière tout à fait significative.

N27 Les étiquettes de l’éthique

Rattrapé par mes lectures, je reviens dans ce chapitre sur la nomenclature jusque-là adoptée dans le modèle de la Norme. N27 constitue par conséquent une longue pause dans la présentation des troubles de la Norme et une mise au point théorique sur les concepts axiologiques sur lesquels Renaud Pleitinx nous éclaire très judicieusement. Cette tentative de terminologie opérationnelle qui date de 2022 est d’autant plus la bienvenue que je signalais déjà en 2019 le caractère piégeux des termes proposés par Gagnepain.

N29 – La dérobade phobique

Les phobies sont un régal pour les lexicologues mais la multiplication des étiquettes ne fait pas avancer le schmilblick. L’objet de la répulsion n’en est pas la véritable raison. Ce n’est qu’un point de fixation de la névrose. L’explication est à chercher ailleurs. Et nous y allons.

N30 – Une digue contre l’angoisse

Nous avons proposé une définition de la névrose phobique différente de celle que propose la psychiatrie et sa nomenclature luxuriante qui peut prêter à rire : hexakosioihexekontahexaphobie, peur du 666. Avant la théorie de la médiation, la psychanalyse s’était intéressée à ce trouble et l’avait déjà dissocié du syndrome obsessionnel, un premier pas vers une déconstruction impérative… que l’on poursuit.

N31 – Névrose, terre de contrastes

La présentation des troubles névrotiques peut à ce stade paraitre incomplète: elle l’est en effet. Car aux épisodes dépressifs sur lesquels nous nous sommes jusqu’à présent arrêtés, succèdent des phases dites « maniaques » où le névrosé fait relâche et se lâche.